Journée d’étude : Comment le psychologue construit-il son cadre d’intervention (aujourd’hui) ?
Reportéeau 25 ou 26 septembre 2025, à Brest (29) - Places limitées
Bulletin d’inscription ou via le QR code
ATTENTION : journée en présentiel, limitée à 50 places.
Notre code de déontologie affirme : « La pratique du psychologue est indissociable d’une réflexion critique portant sur ses choix d’intervention. Elle ne se réduit pas aux méthodes ou techniques employées. Elle nécessite une mise en perspective théorique et éthique de celles-ci. (Art. 20) ». Le psychologue crée, module, repense régulièrement son cadre de travail pour s’ajuster à la personne vieillissante qui demeure un sujet désirant, pensant.
La pratique du psychologue exerçant dans le domaine de la gérontologie que ce soit en libéral ou dans le domaine de l’institution (EHPAD, SMR, psychiatrie, services à domicile, …) est multiple.
Notre activité ne peut se faire sans considérer « le collectif, l’organisationnel et l’institutionnel dans lequel s’articule voire même s’origine en partie le sujet » comme nous le rappelle Philippe Hery dans son article « Entre exclusion et inclusion, Le Psychologue clinicien ».
Où en sommes-nous en 2025 ?
Entre indication et injonction, quel est le cadre d’intervention du psychologue aujourd’hui ?
Le matin, pour étayer nos réflexions, nous pourrons nous nourrir du point de vue de deux intervenants : Dr Lindenbaum, psychiatre, qui abordera la place du psychologue au sein de l’institution. Puis, Dr Mercadié, psychologue, qui nous présentera son regard sur la créativité clinique nécessaire au psychologue.
L’après-midi, nous vous proposons un temps de réflexion en petit groupe. A partir d’une situation de « terrain ». Nous vous inviterons à croiser vos choix d’intervention afin de soutenir cette élaboration. Quel travail thérapeutique proposons-nous à cette personne ? Quelles peuvent être nos différentes grilles de lecture ? Comment peut s’exprimer la créativité de chacun ?
Pour illustrer un possible, Mme Richet-Jacob nous présentera le résultat de ses travaux cliniques sur le syndrome post-chute chez la personne âgée. En effet, la chute est souvent le point de départ de l’intervention psychologique à cet âge.
A partir des présentations des intervenants, de vos pratiques, nous espérons vous trouver nombreux pour partager et réfléchir ensemble autour de cette clinique.